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18 février 2017 6 18 /02 /février /2017 18:27

Le danger guette toujours nos enfants avec le kidnapping, viol et trafic de bébés

Encore une fois, une tentative d’enlèvement d’un enfant de six ans en plein jour dans une rue mouvementée au cœur de la ville a échoué lorsque la victime s’est mise à crier pour attirer l’attention des passants et de sa mère qui l’avait laissé à un moment d’inattention devant une boutique 13 février 2017, a appris La Nouvelle République de certains témoins oculaires. Deux femmes criminelles se sont approchées de près et l’ont pris par la main pour traverser la rue mais elles ont réussi à s’enfuir chacune de son côté en abondant la victime par la suite.

De nos jours le phénomène du kidnapping est devenu une monnaie courante dans notre pays et dans presque toutes les wilayas et ses environs. la population annabie vit toujours dans une immense peur et inquiétude présente chez nombreuses familles qui ont des enfants en bas âges. Le plus dramatique cas ce fut celui des deux petits enfants Ibrahim et Haroun âgés de 9 et 10 ans qui avaient été enlevés mi-mars 2013 du bas de leurs immeubles UV 13 et 18 dans la localité de Ali Mendjeli à Constantine puis retrouvés plusieurs heures après morts l’un dans une valise et l’autre dans un sac en plastique à ordures.
Or, le plus récent est celui d’un enfant de 7 ans qui a été libéré des mains de trois violeurs issus de la même famille, après avoir été enlevé et subi des agressions sexuelles, a-t-on appris samedi de sources digne de foi. L'enfant avait été enlevé dans la nuit du 13 au 14 mai 2016 alors qu'il sortait de son domicile familial au coeur d’Annaba pour faire des courses avant qu'il ne soit enlevé par ses ravisseurs âgés de 26 à 32 ans et détenu six heures dans une cave où il a été victime d'agressions sexuelles. 

Une écolière de 10 ans kidnappée et violée par des inhumains
En effet, la vermine sévit encore et continue d’agir en offensant toutes les règles, les lois et surtout les paroles divines. Cette fois c’est le tour d’une autre petite écolière de 10 ans qui a été enlevée par des crapules sans foi ni loi le 06 avril 2014 pendant qu’elle se trouvait près de son école primaire Bouamama située dans la cité de la Plaine Ouest à Annaba qui est une région où il y a beaucoup de trafiquants et moins de policiers. Or, les ravisseurs au nombre de deux individus ont pu embarquer la fillette sans attirer l’attention de personnes dans leur véhicule pour prendre un chemin vers l’extérieur de la ville, a-t-on appris de source fiable et sûre. Heureusement que sa copine de classe qui a remarqué le manège a vite donné l’alerte qui a permis aux policiers d’entamer des recherches un peu partout au niveau de la ville.
Ce n’est que vers 18 heures que la victime a été relâchée par ses kidnappeurs au niveau de la côte près de la plage Rizi Amor dans un état lamentable après avoir été indique-t-on violée à tour de rôle par ses bourreaux sinon animaux et inhumains. Quel supplice devrait-on leur afficher si ce n’est pas la pendaison ? La petite fillette a été évacuée vers l’hôpital Ibn Rochd là où le médecin légiste a confirmé le viol collectif, a-t-on souligné. A noter que les éléments de la brigade des mineurs relevant du Central de police a ouvert une enquête profonde pour trouver la piste des auteurs de cet acte ignoble qui ne peuvent être que des repris de justice. 

Une femme déguisée en sage- femme kidnappe un nouveau- né à l’hôpital
Par ailleurs et selon les récentes informations dont nous disposons, un spectaculaire kidnapping est survenu le 18 novembre 2013 au service d’accouchements de l’hôpital Ibn Rochd d’Annaba en plein jour et devant plusieurs témoins oculaires, informent des sources sécuritaires. C’est en effet vers 13 heures, le moment où une foule de familles des patientes sont debout présents devant le portail de ce service médical que l’action a eu lieu. Or, une femme âgée de 45 ans a saisi l’occasion idéal pour passer à l’acte avec un sang froid en se déguisant en sage-femme avec une blouse blanche pour s’introduire à l’intérieur du bloc. Elle s’est retrouvée devant plusieurs femmes allongées sur des lits tenant leurs nouveau-nés dans les bras, cette diabolique femme demanda alors aux mamans de lui remettre les bébés qui n’ont pas encore été vaccinés, seule une femme originaire de la ville a donné son nouveau- né de sexe masculin qui fut illico presto arraché des mains de sa maman, indique-t-on.
La kidnappeuse avait pris la fuite sur le champ par la sortie principale pour sauter à l’intérieur de la voiture de son complice une Attos blanche selon les descriptions données par des agents de sécurité qui n’ont pas pensé un seul instant à un tel crime. La malheureuse maman est restée sur le choc juste après avoir su la mauvaise surprise, révèle-t-on. Les policiers du 3 ème arrondissement urbain se sont rendus immédiatement sur place une fois avoir été informés.

Des barrages ont été aussitôt dressés sur les axes principaux extra-muros principalement vers la sortie de la ville pour retrouver le véhicule et surtout arrêter les auteurs. Pendant toute une journée d’investigation, les enquêteurs sont arrivés au bout de leur piste en neutralisant les kidnappeurs à la frontière algéro-tunisienne et retrouver le nouveau- né qui était près à être introduit dans un trafic d’enfants. Une enquête fut ouverte par les services sécuritaires afin de déterminer les circonstances exactes et les causes réelles de ce scandale. Rappelons aussi qu’au lieudit Kharaza il avait été enlevé vers la fin du mois de février 2012 un petit enfant de 5 ans au moment sa mère qui était fautive de l’envoyer lui acheter chez l’ épicier du quartier. La victime fut kidnappée dans des circonstances toujours inconnues.
Ses parents avaient signalé sa disparition depuis déjà un bon moment mais les recherches entamées pour trouver sa piste restaient sans résultat. Au moins d’un mois déjà, c’était nous informent des sources policières le troisième enlèvement d’enfants commis au chef- lieu de la wilaya d’Annaba après celui d’une petite fillette qui avait été enlevée tout près de son école dans la même localité. Les services de sécurité avaient lancé des investigations dans le but de démanteler le réseau qui active dans cette dangereuse filière du nouveau banditisme à l’est algérien. 

Le cas aussi du dénommé Aissa H originaire de Annaba qui était victime du kidnapping de ses deux fils âgés respectivement de 5 et 6 ans par leur mère de nationalité tunisienne. frappé d’un désarroi, le pauvre bonhomme se rendit en Tunisie pour déposer une plainte contre son ex-épouse qui avait su ficeler un dossier contre lui dans la justice tunisienne. Celle-ci prononça alors à l’encontre de la victime un versement d’une pension alimentaire de 400 DT pour qu’il puisse voir seulement ses deux enfants. Le pauvre homme ne sait désormais plus comment peut-il obtenir ses fils ? Le même phénomène des enlèvements se poursuit mais se diffère également dans les diverses situations.
Un fait dramatique était aussi celui d’une famille aisée habitants la ville d’Annaba quand leur fils âgé de 11 ans avait échappé miraculeusement à une tentative de kidnapping en plein jour au cœur du centre ville à proximité de la salle du cinéma Ifriqiya. La victime dont le père qui est connu dans le milieu des affaires notamment un riche entrepreneur avait été en sortant de l’école accostée par quatre malfaiteurs armés de couteaux qui étaient à bord d’une voiture voulant l’enlever pour demander selon l’enquête préliminaire une rançon à son père. Le petit garçon accompagné par son camarade de classe en voyant ses ravisseurs qui voulaient l’attraper il n’avait même pas réfléchi comment traversée la route pour se sauver et là il fut renversé violement par un véhicule lui occasionnant de graves blessures aux jambes.

Les kidnappeurs avaient illico presto pris la fuite au moment de l’accident, nous informe-t-on. Les éléments du 7 ème arrondissement avaient aussitôt déclenché une enquête pour trouver la piste des présumés auteurs. le plus étonnant cas similaire fut celui d’un ancien pigiste au journal El watan qui avait été mis à la porte par le directoire un certain D.A d’ailleurs suite à ses fabuleuses arnaques. L’homme en question avait exécuté son propre kidnapping le 23 septembre 2003 dans le but d’avoir un titre dans les annales de la presse écrite et surtout pour ne pas se présenter à son procès au tribunal correctionnel.
Son affaire avait été démasquée par les services de police de la wilaya de Annaba qui avaient conclu dans leur enquête que suite à une plainte de l’ex wali Mellizi Tahar pour faux et usage de faux d’un diplôme de magister falsifié déposé par l’accusé et victime dans un dossier pour obtenir un agrément d’une école de formation de correspondants. Son faux kidnapping s’était déroulé d’après ses témoignages à la police sur le cours de la Révolution et sans le moindre témoin, chose qui est vraiment étrange, le centre-ville grouillait jour et nuit de monde pour un vrai faux scénario monté de toutes pièces afin d’éviter son procès le 24 septembre de la même année. Certainement l’opinion publique s’interroge toujours sur le sort de cette affaire du faux et usage de faux non classée dans les annales judiciaires qui notamment demeure pendante et non encore élucidée par les enquêteurs chargés des kidnapping et du dossier en question. Affaire à suivre...

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15 février 2017 3 15 /02 /février /2017 20:32

Des stratégies provoquées par la Russie avec sa puissance militaire ultramoderne

Le commandant en chef adjoint de la marine russe Viktor Boursouk a annoncé en mars 2016 sur les ondes de la radio Echo de Moscou que des sous-marins russes étaient équipés d’armes capables de détruire des cibles dans l'espace. «Nous utilisons de telles technologies qui sont développées par des chercheurs en Russie mais aussi à l’étranger, il va de soi que dans l’avenir ce sera un type d’armement des sous-marins», a affirmé le vice- amiral Boursouk, tout en ajoutant que «La communauté internationale est surtout préoccupée par les lancements de missiles balistiques qui constituent l'arme la plus redoutable des sous-marins» .

Du côté américain, le Pentagone a annoncé de placer en rotation en Europe de l’Est à partir de février 2017 une nouvelle brigade blindée de 4 200 soldats pour détourner une éventuelle agression russe. Depuis 2014, l'Otan a pris des mesures pour rassurer les pays alliés d'Europe de l'Est à l’exemple du pré-positionnement de matériel, l'envoi d'avions de chasse dans les pays baltes ou le déploiement de nombreux navires en mer Baltique et en mer Noire. Les soldats américains seront, semble-t-il, déployés en rotations successives de 9 mois d'unités basées à l'extérieur de l'Europe dont six pays concernés spécifiquement l’Estonie, Lettonie, Lituanie, Pologne, Roumanie, et Bulgarie. Or, l’armée des Etats-Unis possède d’ores et déjà une brigade Stryker d'infanterie stationnée à Vilseck en Allemagne ainsi qu’une autre aéroportée basée à Vicenza en Italie. Le déploiement de la brigade blindée ne change rien aux effectifs globaux de l'armée américaine en Europe qui restent à 62 000 personnes et qui va renforcer encore sa force militaire en Europe comme annoncé en février 2016 dans le but d’être quadruplé en 2017 avec des dépenses estimées à 3,4 milliards de dollars. Une compagnie d'infanterie du premier bataillon de blindés de l'Armée américaine est arrivée en début de février 2017 sur la base militaire de Tapa, en Estonie, annonce l'état-major principal des forces estoniennes de la défense. L'ambassade des États-Unis à Tallinn a indiqué qu'une compagnie d'infanterie du premier bataillon du 68e régiment de blindés de l'Armée américaine serait déployée en Estonie avec quatre chars M1 A2 Abrams et quinze véhicules de combat d'infanterie Bradley. Le bataillon multinational de l'Alliance en Estonie sera formé par 1 200 militaires, dont 800 soldats britanniques, de la France et du Danemark. La Grande-Bretagne est décidée à rejoindre l’Otan pour lutter contre la menace russe Le ministre britannique de la Défense Michael Fallon cité par BBC a annoncé qu'un bataillon de 500 militaires sera déployé en Estonie et 150 hommes seront basés en pologne. Cette démarche, a rapporté le ministre, visait à faire éloigner la Russie de toute agression ultérieure et faisant partie de l'engagement de l'Otan pour posséder quatre bataillons à sa frontiére orientale, il est tout à fait clairque les pays de l'europe de l'Est membres de l'Otan sont d'ores et déjà sous pression à cause de la Russie qui mène des exercices militaires à leurs frontières. La Russie avait promis de déployer 30 000 militaires à proximité de sa frontière occidentale si l'Otan décidait d'envoyer des bataillons supplémentaires en Europe de l'Est.

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11 février 2017 6 11 /02 /février /2017 19:04

Ils vendent le pain aux restaurateurs à rideaux baissés

Cela fait cinq jours déjà que les boulangers sont en grève à Annaba, mais la quasi-totalité d’entre-eux vendent leur pain non pas pour les citoyens mais pour tous les restaurateurs et gargotes de la ville avec leurs rideaux baissés. Une situation unique et trop anormale chez nous, a-t-on constaté.

A Annaba, tous les moyens sont bon pour gagner vite de l’argent où le commerce du pain est devenu de nos jours l’un des créneaux le plus florissant dans cette région de l’Est. Ici le consommateur doit se lever tôt pour avoir son pain parce qu’ à la première heure de l’après-midi, il ne reste plus de pain chez les boulangers de la ville malgré les nombreuses boulangeries ouvertes un peu partout dans les quartiers de la wilaya.
Les boulangeries travaillent comme bon leur semble, ils ferment durant toute la période des fêtes religieusespuis ils vendent leur pain aux marchands ambulants qui les écoulent au double sinon au triple prix devant les marchés ouverts. Cette denrée reste introuvable dans plusieurs boulangeries de la ville sauf chez des commerçants de la rue.
Il faut rappeler que le mois de juin 2012 a été le théâtre de deux journées de grève générale déclenchée par tous les boulangers de la wilaya qui ont répondu au mouvement national mais l’anomalie constatée était : le pain se prépare derrière des rideaux baissés pour ensuite être vendu à des jeunes marchands en noir.

Ceux-là à leur tour ils le vendent dans la rue aux citoyens à 20 et 30 DA la baguette. Selon les services de la police économique, la grève a été suivie à un pourcentage de 98 % suite auquel les représentants des boulangers ont eu un entretien avec le secrétaire général de la wilaya et le directeur du commerce pour trouver une solution à leurs revendications notamment fixé une augmentation pour le prix du pain sachant que la farine coute actuellement 2 000 DA et la levure 3 000 DA.
Or, D’après certains commerçants dans le domaine cet aliment populaire est un produit très prisé par toute la population annabie et surtout très rentable en matière de gain. La majorité des boulangers ont essayé d’augmenter le prix de pain à tout prix mais le ministère du Commerce qui a l’œil sur le marché s’oppose à toute augmentation qui n’arrange point le consommateur algérien, l’organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture estime dans une étude faite que les Algériens consomment presque 49 millions de baguettes par jour.
L’Algérie d’après leur classement occupe la 4e place mondiale en termes de qualité de pain après la France, les Etats-Unis et les Philippines. Le gouvernement a administré un prix de 7,5 dinars pour le pain simple et de 8,5 dinars l’amélioré. Certainement presque tous les boulangers en activité à Annaba trompent l’Etat avec des magouilles qu’ils provoquent au vu au su de tout le monde, ils trichent sur le poids, au lieu de faire une pâte de 250 grammes ils en mettent 180 grammes seulement.

En étroite complicité avec des vendeurs clandestins de rues qui se sont emparés des ruelles du marché couvert de la ville, les boulangers sortent leurs productions hors boutique pour être vendues en noir dans les rues et sur les trottoirs à des prix très élevés où une baguette coûte 20 à 30 dinars alors que son prix réel est de 7,5 dinars.
C’est un nombre de 280 boulangeries des 20 000 à l’échelle nationale qui exercent au niveau de la ville soit estime-t-on une moyenne de 10 tonnes de farines produisant près de 5 000 baguettes par jour, une trentaine de boulangeries produisent 300 tonnes de farines près de 150 000 baguettes par jour dont la moitié de ce pain est vendu en marché noir pour le prix deux fois plus que son prix faisant un gain évalué à 50 millions par jour dont une marge bénéficiaire revient aux marchands clandestins et le reste c’est le gain réel des boulangers en activité.

Il est impardonnable pour un père de famille qui ne trouve pas du pain chez le boulanger au milieu de la journée et que juste en face des cartons remplis de pain se vendent sur la rue avec un prix cher devant les yeux de ces boulangers, constate-t-on. 
Désormais cet aliment très nécessaire à la vie on peut le trouver aussi chez l’épicier, le laitier dans les supérettes et surtout chez les marchands ambulants dans de mauvaises conditions, ces derniers trimbalent leurs corbeilles d’un endroit vers un autre causant un risque d’altération avec une totale absence de conditions d’hygiène.
A ce sujet il est à noter qu’une certaine tension est ressentie actuellement sur la vente de la farine notamment sur l’approvisionnement en cette matière de base pour les boulangers dont plusieurs d’entre eux avaient stocké une bonne partie pour leur activité, dit-t-on. Malgré cette situation les familles algériennes continuent de jeter le pain rassis aux poubelles. 

Des jeunes gens ramassent ce pain sec trouvé dans les ordures pour le revendre de nouveau à l’éleveur de bétail à un prix qui varie entre 150 dinars à 200 dinars le sachet de 20 kg. Dès 7 heures du matin ils sillonnent les quartiers en criant «pain sec, pain sec » d’une fenêtre ou d’un balcon, des sachets de ce pain sont jetés du haut des immeubles pour cette catégorie de ramasseurs et revendeurs du pain. Un contrôle strict dans cette filière est tout à fait nécessaire pour faire cesser toutes ces pratiques frauduleuses et immorales.

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6 février 2017 1 06 /02 /février /2017 20:57

Le pays décide de doubler la délivrance de visas pour les Iraniens après le décret Trump

La France a décidé de doubler le nombre de visas pour les Iraniens en 2017, a annoncé, en fin de janvier 2017, le chef de la diplomatie française Jean-Marc Ayrault juste après les restrictions imposées par Washington aux citoyens de sept pays dont l'Iran.

Lors de sa première visite à Téhéran, M. Ayrault a fait savoir que son pays veut que «ce projet vise à doubler le nombre de visas actuellement délivrés en Iran. Il devrait se concrétiser à l’été 2017», a-t-il précisé. Chaque année, pas moins de 41 000 visas sont délivrés à des Iraniens. Cette annonce est survenue après le décret du président américain Donald Trump qui interdit l'entrée aux Etats-Unis aux ressortissants de sept pays majoritairement musulmans, une décision qui a réellement provoqué une forte indignation en Iran. Téhéran a décidé d'appliquer la «réciprocité» de cette mesure aux Américains voulant voyager en Iran. Dans son discours devant la communauté française, M. Ayrault a également souligné son attachement à l'accord historique sur le nucléaire iranien conclu à Vienne en juillet 2015 entre l'Iran et les grandes puissances après des années de négociations de Téhéran entre le P5+1 (Etats-Unis, Grande-Bretagne, France, Chine, Russie et Allemagne) en échange de la levée des sanctions internationales contre l'Iran. Plusieurs grandes entreprises françaises ont conclu en 2016 des accords avec l'Iran, après plusieurs années d'absence en raison des sanctions internationales. Les groupes, pétrolier Total, aéronautique Airbus, et automobiles Peugeot et Renault, ont ainsi fait leur retour sur le marché iranien. «Faire des affaires avec l’Iran, c’est évidemment bon pour les entreprises. C’est aussi renforcer ceux qui ont soutenu l’accord sur le nucléaire», a souligné un diplomate français. Après le décret pour la construction d’un mur à la frontière du Mexique, Donald Trump signe un ordre exécutif afin d’interdire l’entrée en Amérique de citoyens de sept pays musulmans : Irak, Iran, Libye, Somalie, Soudan, Syrie et le Yémen. Les musulmans de ces pays ne figurent pas parmi les pays plus tolérants et leurs exploits criminels en Occident ne plaident guère en leur faveur. Dans les centres d’accueil occidentaux, ils continuent à menacer et à brutaliser leurs compatriotes de confession chrétienne. Ce projet, selon la presse américaine,est justifié pour «Protéger la nation contre les attentats terroristes de la part de ressortissants étrangers» et inclure également l’interruption totale pendant quatre mois du programme d’admission de réfugiés fuyant les pays en guerre. «Ce sont des personnes, qui dans la plupart des cas, entrent chez nous avec des intentions diaboliques. Ce sont des membres de l’EI. Ils arrivent ici avec de faux prétextes. Je ne les veux pas. Notre pays est confronté à suffisamment de difficultés internes, il est, dès lors, interdit d’accueillir des gens qui sont majoritairement animés par la volonté d’y créer de terribles destructions», a expliqué le président américain au cours d’une interview à la chaîne ABC. Tout en ajoutant que «Dans le but de protéger les Américains, nous devons nous assurer que les personnes admises dans notre pays ne soient pas animées par des sentiments et des attitudes hostiles à notre nation et à ses principes fondateurs. Nous ne pouvons et ne devrions pas admettre dans notre pays ceux qui ne soutiennent pas la Constitution américaine ou ceux qui placent des décrets religieux violents au-dessus de la loi américaine. En outre, les Etats-Unis ne devraient pas accepter des personnes prêtes à commettre des actes dictés par le fanatisme et la haine.»

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8 janvier 2017 7 08 /01 /janvier /2017 19:55

L’aviation russe et l’artillerie turque mènent des frappes contre Daech au nord

La lutte contre les groupes de Daech se poursuit toujours dans le nord de la Syrie et sur la bande frontalière entre la Turquie et la Syrie qui a connu ces dernières 48 heures d’intenses frappes russes et turques. L'aviation et l'artillerie des deux pays ont mené des frappes contre les positions du groupe terroriste Etat islamique (Daech) dans le nord de la Syrie, informe-t-on.

Les militaires turques ont ciblé ainsi des objectifs des djihadistes en Syrie, faisant 22 morts au sein de l'organisation fondamentaliste sunnite, tandis que l'aviation russe a bombardé et éliminé quelques cibles près de la ville d'Al Bab contrôlée par l'EI, a annoncé l'armée turque. Des cibles visées par la Russie ont été détruites à Daïr Kak, à 8 km au sud-ouest d'Al Bab. 
L'opération turque «Bouclier de l'Euphrate» a été lancée il y a un peu plus de quatre mois dans le but de chasser les djihadistes de la région frontalière entre la Turquie et la Syrie. A la mi-décembre 2016, les avions russes ont détruit 11 chars et véhicules d'infanterie, 31 véhicules dotés de mitrailleuses lourdes et éliminé plus de 300 terroristes. Des combats acharnés ont fait rage aux abords de Palmyre après une nouvelle attaque des djihadistes qui ont tenté de s'emparer de la ville. 
La ville de Palmyre, dont les vestiges sont classés au patrimoine mondial de l'Unesco, est restée pendant dix mois sous le contrôle des terroristes avant d'être reprise le 27 mars dernier par les troupes gouvernementales syriennes. La reprise de la ville a privé Daech du contrôle de 20% des territoires occupés, indique-t-on.

Poutine envoie des agents des forces spéciales tchétchènes en Syrie le journal Izvestia russe a rapporté que la Russie a envoyé des agents de bataillon appelés Ouest et Est des forces spéciales dites tchétchènes en Syrie, pour protéger les installations russes à Khmeimim et Tartous. Ces deux bataillons ont été transformés en une force de police militaire pour être pleinement déployée à la fin de décembre 2016, a-t-on appris de ce média. Traditionnellement, la Russie s’est toujours reposée sur les forces d’élites musulmanes, et la plupart d’entre elles ont été des Tchétchènes. Et en 2008, les bataillons tchétchènes ont eu un rôle déterminant dans la contre-offensive russe contre les forces géorgiennes. 
Ainsi dans un centre d’entraînement unique pour les forces spéciales de Tchétchénie, des opérateurs provenant de toute la Russie viennent apprendre, enseigner et partager leur expérience. Ce sont des unités tchétchènes en réalité, un mélange d’agents spéciaux venant de toute la Russie, qui ont été spécialement entraînés pour faire face à des insurrections du genre de Daech, a-t-on indiqué. Tout porte à croire que ces soldats russes sont envoyés afin d’entraîner les forces spéciales syriennes à des opérations de renseignement avancées.
D’où les Russes ont admis qu’ils avaient des agents de renseignement tchétchènes infiltrés dans Daech. Malheureusement ils n’ont pas d’agents de renseignements de grande qualité mais notons que les Tchétchènes fourniront un soutien immédiat aux Syriens, si nécessaire, ils auront un rôle durable dans l’organisation d’une force contre-terroriste contre insurrectionnelle efficace.

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4 janvier 2017 3 04 /01 /janvier /2017 19:31

La restauration des sites historiques, monuments et patrimoines : l’Etat doit s’en occuper

Le monument historique qu’est la grande mosquée Salah El-Bey, plus connue sous le nom de Djamaâ El-Bey est située dans la vieille ville précisément à la place d’armes, ancien centre-ville d’Annaba et un berceau historique de combat lors de la lutte colonialiste.

Depuis très longtemps, cette jolie mosquée accueille beaucoup de fidèles principalement lors de la prière du vendredi. Mais il faut dire qu’à la vue de cette merveilleuse bâtisse du XVIIIe siècle, nous sommes réellement étonnés de constater que son état de vétusté s’aggrave de jour en jour car ce noyau d’architecture n’a jamais été restauré comme ce fut le cas de la nouvelle restauration de la basilique de Saint Augustin, un joyau du patrimoine architectural du pays qui était menacé par l’outrage du temps, constitue un creuset culturel, un lieu d’échange et de liens intercultuels.
Cet édifice religieux a subi depuis 32 mois des travaux de rénovation entamés en 2010 et confiés à l’entreprise française A Girard. Les vitraux ont été restaurés par l’atelier Vitrail et la maîtrise d’œuvre fut assurée par l’architecte Xavier David, à Marseille. Le coût de cette restauration est de l’ordre de 500 millions de dinars, assumé par l’Etat algérien, l’Etat français et la République fédérale d’Allemagne ainsi que plusieurs autres sociétés algériennes et étrangères qui ont contribué avec des donations telles que Sonatrach, Sider, le Groupe Mehri, le Groupe Vinci, Algérie Télécom et trois fondations italiennes de Milan et Rome. Or, la basilique mémoire de la cité Augustin qui était évêque d’Hippone de 395 jusqu’à sa mort en 430 et auteur œuvres philosophique dont les confessions, la Trinité et la cité de Dieu.
La basilique Saint Augustin d’hippone fut construite entre 1881 et 1900. L’ambassadeur de France André Parant devant un nombre de 13 ambassadeurs de différents pays notamment les ambassadeurs de France, Belgique, Mexique, Norvège, Argentine, Pologne, Allemagne, Espagne,Tunisie et l’ambassadeur de l’Union européenne qui ont marqué leur présence dans cette grande cérémonie a fait part de son émotion face à cette nouvelle renaissance de cet important édifice algérien tout en avouant : «c’est réellement lança-t-il un chef d’œuvre unique du patrimoine algérien étant cette merveilleuse basilique !».

Restaurer un patrimoine historique c’est lui rendre sa vraie valeur
Il y’a lieu de souligner que cette grande Mosquée avait été construite sous le règne de Salah El Bey. A cette époque là les deux communautés arabe et Turque étaient entrées en conflit au sujet de sa construction. Les Arabes voulaient une architecture mettant en valeur une tour surmontée d’un drome coranique, les Turcs de leur côté avaient voulu une mosquée aux dômes circulaires.
Alors pour éviter toute confrontation le dey avait ordonné d’opter pour une architecture regroupant les deux styles de construction mais malheureusement un nouveau conflit surgit lors de l’assassinat de Salah El Bey à la prison d’El Casbah en août 1792 lorsque la communauté turque avait pris possession de cette mosquée interdisant aux musulmans d’y faire leur prière soutenus par Mustapha El Ouznadji successeur de Salah El Bey.
D’autre part il convient de relever que malgré l’importance et l’originalité de son aspect architectural, ce monument perd malheureusement de jour en jour de sa beauté du fait qu’il n’a fait l’objet d’aucune restauration ni rénovation depuis l’indépendance de l’Algérie, a-t-on indiqué auprès de ses proches fidèles. Dans la ville de Constantine un nombre de 18 opérations de réhabilitation des secteurs patrimoniaux sur 16 sites protégés sont inscrites pour des travaux de restauration.

La Casbah un lieu de mémoire, d’histoire et de lutte
L’un des plus beaux sites maritimes de la Méditerranée, surplombant les îlots où un comptoir carthaginois fut installé dès le IVe siècle av. J.-C., La Casbah constitue un type unique de médina, ou ville islamique. Lieu de mémoire autant que d’histoire, elle comprend des vestiges de la citadelle, des mosquées anciennes, des palais ottomans, ainsi qu’une structure urbaine traditionnelle associée à un grand sens de la communauté. La Casbah d'Alger avait été inscrite sur la Liste du patrimoine mondial à la 16e session du Comité, en décembre 1992. Cette forteresse d’El Djazair et vieux site historique ou’ En 1516, le corsaire turc Khaïr al-Din installe sa capitale à Alger. Il en fait une ville fortifiée en construisant d'imposants remparts, qui sont à l'origine de la Casbah. Six portes assurent la liaison entre la vieille ville, le port et le reste du pays.
L'accroissement de la ville se traduit par un développement des espaces bâtis, notamment de maisons à étage. Même si, à l'époque, les Ottomans étaient présents le long d'une grande partie du littoral algérien, le pouvoir turc intervient peu dans les affaires locales d'Alger. Le bey Khaïr al-Din fait prospérer la ville en combinant la force militaire et le développement du commerce. La ville est prospère jusqu'au XVIIe siècle. Dans la ville se conjuguent alors les traditions turques et arabes. Les premières études pour la sauvegarde du site de la Casbah d'Alger avaient été conduites dans les années 70 et un plan d'aménagement de la Casbah avait été mis en oeuvre à partir de 1981 portant sur le bâti de la période 1816-1830 pour mettre en valeur la ville à l'époque de l'influence ottomane, 1816 étant la date à laquelle le centre politico-administratif fut transféré à la citadelle; la vieille ville est un précieux témoin de l'histoire de l'Algérie.

Cette casbah qui s'étend en effet sur 45 hectares et témoigne d'une forme urbaine homogène dans un site original et accidenté (118 mètres de dénivellation). La richesse de la ville se traduit par les décorations intérieures des habitations, souvent ordonnées autour d'une cour carrée centrale faisant atrium. Les rues tortueuses et pentues constituent aussi un élément caractéristique de la vieille ville. elle abrite également douze mosquées dont la mosquée Djamâa el-Kébir du XIe siècle. La citadelle qui abritait plusieurs palais résidentiels et édifices religieux.

 

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2 janvier 2017 1 02 /01 /janvier /2017 15:15

Le Soudan extrade Fazzani, l’un des organisateurs de l’attentat du Bardo

Les autorités soudanaises ont remis ces dernières 48 heures, à la Tunisie, le dénommé Moez Fazzani, impliqué et recherché pour des affaires terroristes, faisant l’objet de mandat d’arrêt international, a indiqué Sofien Selliti, premier substitut du procureur de la République près le Tribunal de première instance de Tunis et porte-parole du Pôle judiciaire de lutte antiterroriste en Tunisie.

D’après la justice tunisienne « Moez Fazzani est l’un des dirigeants de l’organisation terroriste Daech au Maghreb; il est en lien avec la majorité des terroristes qui se sont ensuite orientés vers la Syrie, ou la Libye, pour se soumettre à des entraînements militaires», a-t-il précisé. L’homme en question, est impliqué dans l’opération terroriste du Musée du Bardo (18 mars 2015), et dans la tentative d’explosion du Mausolée de Habib Bourguiba (30 octobre 2013). 
Le suspect a été placé en garde à vue. Selon des informations dignes de foi, l’arrestation de Moez Fazzani, a eu lieu au Soudan avec l’aide de l’Italie qui l’a accusé de mener des activités terroristes sur son territoire, indiquant que le dirigeant de l’organisation terroriste Daech, Aboubaker Baghdadi, lui avait ordonné de quitter la Libye vers l’Italie afin de superviser une cellule terroriste qui préparait d’autres opérations.

Démentelement d’une cellule terroriste à Jendouba
Une cellule terroriste composée de trois personnes, âgés entre 25 et 28 ans, dont une femme, a été démantelée, dimanche à la cité Zahoua, relevant de la délégation de Jendouba Nord, par l’unité d’enquête et de recherche de la Garde nationale tunisienne, informe-t-on. Le communiqué du ministère de l’Intérieur révèle que les trois éléments ont avoué être en contact sur le réseau social «Telegram» avec les terroristes retranchés sur les hauteurs de Jendouba et du Kef.
Des photos faisant l’apologie des attentats terroristes contre les forces sécuritaires et militaires tunisiennes, ont été trouvées dans les téléphones portables des trois suspects. Les suspects ont avoué avoir des liens avec des membres de l’organisation terroriste Daesh en Syrie et en Libye. Les mis en cause ont été placés en détention préventive par la justice pour le moment.

OKI FAOUZI

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25 décembre 2016 7 25 /12 /décembre /2016 20:22

ANNABA/ flambé du marché informel des devises ENQUÊTE

LES BARONS DU COMMERCE RENFORCENT

LEURS CAMBISTES POUR CONTROLER LES DEVISES

 

Le marché informel des devise est toujours florissant au chef lieu de la wilaya de Annaba, Constantine , Alger et Oran , l’activité prend de l’ampleur pour ce marché parallèle notamment s’enflamme au fil des mois de l’année et surtout à la proche des fêtes de fin d’année avec les affairistes qui visent uniquement le gain facile , rapide et colossal.

C’est plus d’une cinquantaine d’agents de change qui sont quotidiennement présents debout prés de leurs voitures stationnées à la rue ibn Khaldoun au centre ville de Annaba . on les reconnaît facilement avec les liasses de billets de banque à la main , un téléphone portable et une machine à calculer . En cette période le marché de la devise est florissant pour ces cambistes et leur profession s’est considérablement renforcée durant ces derniers mois un certain retour de nombreuses personnes vers les petits voyages à l’étranger et surtout pour passer les fêtes de noëls et de nouvel an. cet état de fait constitue donc l’une des principales causes d’une spectaculaire montée de la monnaie européenne qui a franchi dernièrement la barre de 182 DA pour lequel le business du change parallèle est hautement lucratif et l’argent , devises et dinars confondus coule à flots . Le dollar américain et l’Euro se sont vu rapidement grimper dans les marchés irréguliers des devises en Algérie. A Annaba dans la grande rue commerciale et mouvementée de Gambetta, les cambistes des réseaux monétaires qui notamment contrôlent la masse monétaire ramassée dans les rues algériennes se sont enrichis dans un laps de temps tout en conservant leur activité en noir non discrète. A-t-on constaté de visu. or, les 100 euros sont achetés à 18 400 DA et vendu pour la somme de 18700 DA chez ces commerçants ambulants soit un euro se vend aux beznassa à 187 DA tandis que le dinars tunisien vaut 100 DT pour 7600DA alors que les 100 dollars s’achètent à 17000 DA. . outre le fait qu’on les reconnaît aisément c’est lors des transactions qui se font à toute heure de la journée au vu et su de tout le monde. A notre arrivée sur les lieux , une scène a retenu notre attention , un client est abordé par quatre cambistes . chacun lui propose son service , la bourse de change d’annaba fonctionnant en dehors du circuit bancaire s’est forgée la réputation d’une véritable institution non officielle . « ici on peut effectuer le change sur place de plusieurs millions de centimes sans jamais craindre l’intervention d’aucune autorité ni aussi de la brigade financière ! » Nous dira un citoyen rencontré sur les lieux . une formidable masse monétaire incontournable dans cette jungle boursière , certains trabendistes exhibent des liasses de billets de 50 euros afin d’attirer les clients ne pouvant obtenir des devises auprès des banques . si l’acheteur veut acquérir une grosse somme en euros ou en dollars , le vendeur peut lui consentir une ristourne estimée à 60 DA sur les 100 euros il faut dire que le gain est énorme .

SPECULATION DES DEVISES

Certains spéculateurs ont stocké leurs devises pour les vendre lorsque l’euro prendra encore des ailes indique une source proche de ses cambistes . Notons que le dollars américain est aussi demandé sur ce marché , la masse monétaire en devises principalement s’est envolé ces derniers jours. Il est de 40% plus cher que le cours officiel qui tourne autour des 104 DA . or, cette hausse subite est due aux importateurs qui achètent des produits de consommation en prévision des fêtes annuelles . en effet les cambistes effectuent en premier lieu la conversion sur leurs calculatrices dans la main avant d’acheter ou de vendre les billets . A-t-on constaté sur les lieux . Du coté de certains cambistes qui avancent plusieurs avis pour tenter d’expliquer cette envolée de l’euro . « il y’a des moments comme la période de hadj ou de la omra ou’ les devises coûtent chères ! » nous ont –ils déclaré . le manque de l’euro est causé aussi par la baisse de l’épargne des immigrés en raison de la crise mondiale ; ils avaient l’habitude d’alimenter le marché des devises à Annaba . certains indicateurs nous ont révélé que les devises entrent au pays par ruse dissimulées dans les marchandises importées vêtement , faïences , et autres objets .

LE GAIN EST CONSIDERABLE

De toute évidence les quantités échangées sont considérables compte tenu du nombre important de personnes incluses dans ce créneau juteux . Par ailleurs d’après un revendeur beaucoup de clients possèdent des devises à la maison et préfèrent les vendre du fait qu’ils ne peuvent ouvrir des comptes . Notre interlocuteur ajoute que « les petits monnayeurs ne représentent rien pour les gros bonnets du trafic de devises » ces gros bonnets du marché parallèle aux costumes neufs , aux voitures luxueuses tenant deux portables de part et d’autre pour des coups de fil urgents sont à chaque instant connectés à leurs acolytes dans les zones névralgiques du commerce des devises comme à titre d’exemple Tizi Ouzou qui reste apparemment le premier fournisseur , Alger , Oran , Sétif et Constantine . le revendeur nous affirme à ce titre que « ces patrons du marché informel sont renseignés de très prés sur l’activité douanière qui peut à tout moment influencer le cours des changes » « cette flambée de l’euro tient-il à préciser est provoquée volontairement ; avant c’était de deutschemark , le franc suisse , la livre sterling , le yen japonais et la couronne suédoise qu’on achetait » Alors qu’on discute avec notre interlocuteur , trois hommes arrivent avec des sacs à la main , ils sont à la recherche de quelqu’un pouvant leur échanger une forte somme d’euros . Deux cambistes se présentent illico presto et leur demandent « Avez-vous une petite ou grosse somme ? » De grosses liasses de billets de 1000 DA font alors leur apparition sous nos yeux . la transaction est effectuée sans aucun appareil de détection de fausse monnaie car il faut savoir que le marché n’échappe pas à l’arnaque , les réseaux de faux monnayeurs existent dans les différentes régions du pays . Ce sont généralement les importateurs des produits étrangers et les fournisseurs retraités qui effectuent ces transactions . le gain est considérable il peut se chiffrer à plusieurs millions de centimes par jour , en termes de chiffre d’affaires au vu du nombre important de clients qui les sollicitent quotidiennement . ils sont commerçants , trabendistes , retraités pensionnaires en France ou pèlerins . A ce sujet il est fort probable que des opérations coup de poing soient déclenchées par les services de police et de la gendarmerie . Ainsi la préoccupation majeure des cambistes informels reste la crainte d’une descente inattendue de la police économique . informe-t-on .

 

PAR OKI FAOUZI

 

 

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21 décembre 2016 3 21 /12 /décembre /2016 18:32

Le service fédéral de sécurité FSB déjoue une vague d’attentats à Moscou

Le Service fédéral de sécurité et renseignement russe FSB a capturé le 15 décembre 2016 quatre membres d’un groupe terroriste qui préparaient des attentats à Moscou.

Le FSB ex-KGB a déjoué une série d’attentats dans la capitale préparée sur l’instruction d’un émissaire de Daech résidant en Turquie, a annoncé le service dans un communiqué. Selon ce service, il s’agit d’un groupe terroriste composé de ressortissants tadjiks et moldaves qui projetaient de perpétrer des attaques extrémistes à Moscou avec l’utilisation de dispositifs explosifs improvisés de forte puissance.
Le président du Comité national anti-terroriste (NAK) et directeur du FSB, Alexandre Bortnikov a déclaré que «les agents de FSB ont trouvé et saisi des armes à feu automatiques et des munitions, des engins explosifs improvisés prêts à être utilisés ainsi qu’une quantité considérable de mélange explosif destiné à la fabrication d’engins explosifs de forte puissance». 
Et d’ajouter que «la police et les forces de sécurité avaient déjoué 42 attentats cette année, notamment à Moscou, Saint-Pétersbourg, Ekaterinbourg et Nijni-Novgorod. Les terroristes, pour la plupart des ressortissants des ex-Républiques soviétiques, projetaient des attaques dans les transports et dans des zones densément peuplées», a-t-il informé. Deux jours avant cette intervention un réseau de terroristes appartenant à Daech a été démantelé à Moscou et à Saint-Pétersbourg, il était composé de ressortissants d’Asie centrale.

D’après le service de renseignement russe, 10 terroristes ont été arrêtés pendant des perquisitions effectuées à Moscou et à Saint-Pétersbourg, quatre bombes artisanales, des armes à feu, des munitions et du matériel de communication ont été saisi. Les terroristes avaient avoué tout leur plan d’action en donnant les noms de leurs complices, indique-t-on. Le Service fédéral de sécurité (FSB) a arrêté le 5 mai 2016, un groupe de ressortissants étrangers qui préparaient une série d'attaques terroristes à Moscou et dans sa région, a indiqué un communiqué diffusé par le FSB ex-KGB de la Russie.
Selon les informations de l’agence russe, les attentats devaient être perpétrés lors des festivités du mois de mai et les attaques étaient planifiées sur ordre de chefs d'organisations terroristes internationales basées en Syrie et en Turquie. Une importante quantité d’explosifs et d’armes ont été saisis par des agents secrets après avoir mis hors d’état de nuire les terroristes. Le FSB révèle que les terroristes présumés envisageaient de commettre une fusillade visant des passants lors des célébrations de la fête du Travail du 1er mai ou de la fête de la Victoire sur l'Allemagne nazie du 9 mai qui attirent des centaines de milliers de personnes au cœur de la capitale russe. L’identité des suspects n’a pas été dévoilée. 

En février dernier, le Service fédéral de sécurité de Russie (FSB) a réussi à neutraliser 14 personnes impliquées dans la fabrication de faux documents pour les combattants de Daech dans la région de Moscou, rapporte jeudi 5 mai le service de presse du FSB. Parmi les éléments du groupe démantelé, figuraient des citoyens russes et des ressortissants de plusieurs ex-Républiques soviétiques. Les intéressés fabriquaient de faux documents pour les djihadistes qui partaient en Syrie pour joindre les rangs de l'Etat islamique ainsi que pour les combattants de Daech envoyés en Russie en vue de perpétrer des attentats, a fait savoir le Service fédéral. 
Quelques jours plus tard, le département du FSB a annoncé avoir interpellé dans l'Oural sept membres de l'Etat islamique qui envisageaient de commettre des attentats à Moscou et à Saint-Pétersbourg. Le groupe était dirigé par un terroriste de Daech en provenance de la Turquie, informe-t-on. Selon le service de presse du FSB, il s'agit de personnes de nationalité russe et des ressortissants des pays d'Asie centrale qui planifiaient des attaques terroristes avec l'emploi d'engins explosifs artisanaux sur le territoire de Moscou, de Saint-Pétersbourg et de la région de Ekaterinbourg Oural du Sud. «Après la réalisation des attentats, les intéressés envisageaient de gagner la Syrie dans l'objectif de prendre part aux hostilités dans les rangs de l'Etat islamique», informe le Service fédéral. 
Durant les mois passés, quelques dizaines de combattants islamistes ayant prêté allégeance à l'EI ont été éliminés lors d'opérations spéciales dans le Caucase russe. La Russie mène depuis le 30 septembre 2015, des frappes aériennes contre les positions de Daech en Syrie.

Une vingtaine de recruteurs pour Daech arrêtés à Mouscou par le FSB et la police
20 recruteurs de l'organisation terroriste Daech ont été démantelés la fin de mars 2016 à Moscou, a annoncé les forces de l'ordre russes. Une vingtaine de personnes soupçonnées de liens avec Daech ont été arrêtées au cours d'une opération conjointe du Service fédéral de sécurité (FSB) et de la police. Ces personnes recherchaient et recrutaient à Moscou de nouveaux membres de Daech, a-t-on fait savoir de source officielle.

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18 décembre 2016 7 18 /12 /décembre /2016 18:25

L’Etat d’urgence sera prolongé une quatrième fois

Par peur de revivre une nouvelle fois des attentats terroristes sur le sol français et surtout au moment des festivités de fin d’année 2016, Manuel Valls a annoncé qu’il va prolonger une quatrième fois l’état d’urgence au mois de janvier pour «protéger la démocratie» dans un entretien à la chaîne britannique BBC, par ces mots : «Nous allons débuter la campagne présidentielle dans quelques semaines avec des meetings, des réunions publiques.

Donc il faut aussi protéger notre démocratie.» Alors que l'efficacité de l'état d'urgence fait déjà polémique. Pour l'eurodéputé EELV Pascal Durand, prolonger l'état d'urgence n'est pas une bonne nouvelle, surtout au regard de l'efficacité du dispositif : «On voit bien que les services de police n'arrivent plus à suivre, on utilise des militaires qui sont là, dans les rues, ils ne savent pas à quoi ils servent et nous non plus, tout cela n'est pas très pensé, on a l'impression qu'on est vraiment en train de gérer au jour le jour, ce n'est pas rassurant.» François-Bernard Huyghe, directeur de recherche à l'Institut de relations internationales et stratégiques (IRIS), n’a pas caché ses doutes sur le plan sécuritaire : «Sur le plan de l'efficacité, cela n'a pas empêché l'attentat de Nice par exemple, destinée à rassurer la population. C'est quelque chose qui a des conséquences, au niveau du tourisme par exemple, des agences qui ne veulent pas envoyer des clients dans un pays qui se dit lui-même dans un état de grand danger.» François-Bernard Huyghe a souligné que des milliers de Français radicalisés, partis ou non combattre en Syrie est un problème quantitatif auquel fait face le pays : «Aucune force de police, en tout cas dans un Etat démocratique, ne pourrait contrôler autant de gens, les empêcher de nuire.» Et d’ajouter : «Ce n'est pas une très bonne chose dans une démocratie, si les gens en charge d'assurer l'ordre démocratique ne se sentent pas capables de le faire ou ont un moral en chute libre.» Pour le directeur du Front national de la Jeunesse (FNJ), la décision de François Hollande de mettre en place l'état d'urgence au lendemain des attentats n'a été d'aucune utilité. «Les mosquées salafistes sont toujours en activité, les imams radicaux continuent de prêcher la haine sur notre territoire en toute impunité. En réalité, on se rend compte que ça n'a servi strictement à rien, si ce n'est finalement à mettre en œuvre un véritable recul des libertés individuelles et démocratiques dans notre pays», dit-il Par cette décision, l'état d'urgence en France verrait sa durée portée à 19 mois depuis son entrée en vigueur par décret le 14 novembre dernier. le Premier ministre affirmait que l'état d'urgence est comme une épée de Damoclès au-dessus de la tête des candidats à la présidentielle, mais aussi aux législatives : «Il faut savoir qu'un grand nombre de candidats ont cette tradition de faire des meetings de rue, de mettre en œuvre des rassemblements, des manifestations. Malheureusement, dans un contexte d'état d'urgence, on est absolument en droit d'imaginer que le gouvernement par le biais des préfectures pourrait refuser le déroulé de ces meetings de rue, de ces manifestations et ainsi perturber un peu le bon déroulement de la campagne de plusieurs candidats même en dehors du FN ça ne laisse rien présager de bon pour le bon déroulement démocratique de cette campagne.»

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